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Fonds thématique de Schroders : lutte contre le dérèglement climatique

Fonds thématique de Schroders : lutte contre le dérèglement climatique




Découvrez le fonds thématique Schroder ISF Global Climate Change Equity de Schroders, portant sur les enjeux du changement climatique.

Dans cet article, David Docherty, Responsable de la gamme thématique de Schroders, nous présente le fonds « Schroder ISF Global Climate Change Equity », le fonds thématique de Schroders autour des enjeux du changement climatique.

Présentation du fonds Schroder ISF Global Climate Change Equity

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Schroder ISF(1) Global Climate Change Equity est un fonds qui investit en actions internationales, dans les entreprises que nous pensons être les mieux placées pour répondre aux enjeux du changement climatique et en réduire les impacts. C’est l’un des premiers fonds thématiques de Schroders : il a été lancé en 2007 et sa stratégie est restée la même depuis l’origine. Le fonds a obtenu le label ISR (Investissement socialement responsable).

Chiffres clés du fonds :

  • Date de lancement : 29 juin 2007
  • Encours : 846 millions USD
  • Gérant : Simon Webber (depuis le lancement du fonds) et Isabella Hervey-Bathurst (depuis 2020)
  • Codes Isin : part A acc couverte en euro – LU0302446645, part A acc euro (non couverte) – LU0302446645

Changement climatique et dérèglement climatique : le grand défi de la planète

Le changement climatique est le plus grand défi de la planète pour les années et les décennies à venir. En 2015, les leaders politiques mondiaux ont signé l’Accord de Paris, s’engageant à limiter à 2°C la hausse de la température mondiale à long terme par rapport aux niveaux pré-industriels.

À l’heure actuelle, selon notre tableau de bord du changement climatique, nous sommes encore sur une trajectoire très supérieure, vers une hausse de température de 3,8°C, soit près du double de l’objectif. Pour avancer sur la bonne voie, il faudra une transformation radicale de l’économie mondiale.

Nous estimons qu’environ 2 000 milliards de dollars par an d’investissements sont nécessaires au cours de la prochaine décennie, pour atteindre les objectifs climatiques de l’Accord de Paris et passer à une économie à faible intensité en carbone.

Nous pensons que les entreprises qui reconnaissent ces défis et sont capables de s’adapter, ou qui font partie de la solution, seront plus performantes que la moyenne du marché et offriront des rendements pérennes à long terme pour les investisseurs.

Celles qui ne réagiront pas seront plus à risque. Le changement nécessaire va transformer la société, les entreprises et les industries. Mais avec le changement viennent les opportunités. La transition a lieu maintenant et les technologies nécessaires sont devenues courantes. Investir dans la lutte contre le changement climatique permet de tirer profit des retombées potentielles de cette transformation positive.

Investir dans le climat : l’approche de Schroders

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Le changement climatique va avoir un impact sur toutes les entreprises. Nous recherchons donc des opportunités dans un contexte mondial et diversifié sans nous limiter à des secteurs particuliers. De cette façon, nous sommes capables de constituer un portefeuille bien diversifié d’actions de sociétés liées au thème du changement climatique.

Nous excluons les entreprises dont 5 % ou plus du chiffre d’affaires est tiré des combustibles fossiles (pétrole, gaz, charbon, sables bitumineux et gaz de schiste), de même que celles tirant 10 % ou plus de leur chiffre d’affaires du tabac ou des armes civiles et militaires. Les armes controversées, nucléaires ou à uranium appauvri sont totalement exclues.

Par ailleurs, l’équipe de gestion et les spécialistes de l’investissement durable de Schroders ont un dialogue actif avec les entreprises détenues dans le portefeuille, afin de les encourager à progresser sur toutes les dimensions environnementales, sociales et de gouvernance. Le portefeuille compte généralement entre 40 et 70 positions, sans contrainte d’indice de référence, et son style de gestion est orienté sur la croissance et la qualité des entreprises.

Les secteurs liés au changement climatique

Dans ce fonds spécialisé sur le changement climatique, nous investissons dans 5 domaines : les énergies propres, le transport durable, les ressources environnementales, les leaders bas carbone et l’efficacité énergétique.

Énergies renouvelables

Les sources d’énergie renouvelables sont devenues moins coûteuses à développer que les autres formes de production d’électricité et elles représentent aujourd’hui près des deux tiers de la nouvelle capacité énergétique nette dans le monde.

Toutefois, les sources d’énergie solaire et éolienne sont encore déployées à un rythme deux fois moins rapide que celui nécessaire pour atteindre l’objectif climatique de 2 °C. Nous estimons que pour atteindre cet objectif, il faudra multiplier par trois les investissements annuels réels dans les technologies et les infrastructures vertes d’ici 2030. La croissance rapide de l’industrie des énergies renouvelables devrait se poursuivre, et offre de nombreuses opportunités d’investissement.

Un exemple d’entreprise de ce domaine est Vestas, une société danoise qui fabrique et installe des turbines éoliennes.

Véhicules électriques et transport durable

L’amélioration de l’accès et de l’utilisation des transports publics est un élément important du transport durable. Cependant, un défi important pour l’industrie des transports est de s’assurer que les moteur à combustion soient remplacés par une technologie respectueuse de l’environnement.

Pour atteindre les objectifs en matière de changement climatique, le moteur à combustion devra être éliminé presque complètement et remplacé par l’électrification au cours des trois prochaines décennies. Les opportunités d’investissement vont au-delà des véhicules et incluent les fabricants de composants utilisés dans leur production. Le marché des batteries lithium-ion est un domaine de croissance. On estime qu’il doit être multiplié par plus de 8 afin de répondre aux besoins de l’Union européenne et de la Chine uniquement.

Un exemple d’entreprise de ce domaine est Chroma ATE, une société taïwanaise d’équipements de test pour les batteries des véhicules électriques.

Les ressources environnementales

La manière dont nous utilisons les ressources de la terre jouera naturellement un rôle essentiel pour relever le défi du changement climatique. Les entreprises à la pointe dans des domaines tels que les infrastructures hydrauliques, les biocarburants, l’élimination/le stockage du carbone et la productivité agricole contribuent à mettre au point des processus plus durables.

Par exemple, Weyerhaeuser est l’un des plus grands propriétaires de forêts du monde. La société utilise le bois comme solution durable pour la construction, l’hygiène, les emballages, les étoffes et même les plastiques. Elle utilise également ses forêts pour fournir de l’énergie durable via la création de biomasse ligneuse. À ce jour, près de 70 % des besoins énergétiques de Weyerhaeuser proviennent de la biomasse résiduelle de ses forêts. Elle met également ses terres à la disposition de producteurs d’énergie renouvelable éolienne et solaire.

Les entreprises à faible émission de carbone

Présents dans une grande variété de secteurs et de régions, les leaders à faible émission de carbone sont des entreprises qui possèdent des technologies, des processus de production, des produits ou même une culture d’entreprise qui les distinguent dans leur réponse au défi du changement climatique.

Par exemple, le fabricant d’aluminium Norsk Hydro utilise l’énergie hydraulique, plutôt que le charbon, pour alimenter ses fonderies. Cela se traduit par des émissions de carbone de seulement quatre tonnes (contre une moyenne de 20 tonnes) pour chaque tonne d’aluminium produite. Le résultat global est une réduction d’environ 66 % des émissions de gaz à effet de serre.

Efficacité énergétique

Pour atteindre les objectifs climatiques, il est important d’investir dans de nouveaux produits et technologies à haut rendement énergétique. Cela implique la mise au point de nouveaux procédés et l’utilisation de nouveaux matériaux légers, comme l’aluminium.

La société japonaise Sekisui Chemical, par exemple, est spécialisée dans les plastiques à haute performance, les infrastructures urbaines et les produits environnementaux, ainsi que dans la construction de maisons écologiques. Elle a été pionnière dans la conception de logements à émission zéro. Ces maisons sont conçues pour minimiser la consommation d’énergie des ménages grâce à une isolation thermique avancée et des équipements domestiques à haut rendement, tout en produisant de l’électricité grâce à l’énergie solaire et aux piles à combustible. Le résultat est une maison qui compense sa propre consommation d’énergie et peut même atteindre une consommation d’énergie inférieure à zéro.

Principaux risques :

Le fonds n’est pas garanti et votre capital est à risque.

Risque de pays pour la Chine : les modifications d’ordre politique, juridique, économique ou fiscal en Chine peuvent donner lieu à des pertes ou des coûts plus élevés pour le fonds.

Risque de contrepartie : la contrepartie d’un instrument dérivé ou d’un autre accord contractuel ou produit financier synthétique peut se trouver dans l’incapacité d’honorer ses engagements envers le fonds, créant potentiellement une perte partielle ou totale pour le fonds.

Risque de change : le fonds peut être exposé à différentes devises. Les variations des taux de change peuvent entraîner des pertes. Risque de change / catégorie d’actions couverte : les variations des taux de change affecteront les performances de votre investissement. L’objectif de cette catégorie de parts couverte en euro est de mettre à votre disposition les performances des investissements du fonds en réduisant les effets des fluctuations des taux de change entre euro et la devise de référence du fonds dollar américain.

Risque lié aux instruments dérivés : un instrument dérivé peut ne pas se comporter comme prévu et entraîner des pertes plus importantes que le coût de l’instrument dérivé.

Risque lié aux marchés émergents et marchés frontières : les marchés émergents, et notamment les marchés frontières, comportent généralement un risque politique, juridique, de contrepartie et opérationnel accru.

Risque lié aux actions : les cours des actions fluctuent sur une base journalière, en fonction de plusieurs facteurs, dont notamment des informations d’ordre général, économique, sectoriel ou relatives à la société.

Risque lié à l’effet de levier : le fonds utilise des instruments dérivés à des fins d’effet de levier, ce qui le rend plus sensible à certaines fluctuations de marché ou de taux d’intérêt et peut entraîner une volatilité supérieure à la moyenne et un risque de perte.

Risque de liquidité : dans des conditions de marché difficiles, le fonds peut être dans l’incapacité de vendre un titre à sa vraie valeur ou de le vendre tout simplement. Ceci pourrait peser sur la performance et obliger le fonds à différer ou suspendre les rachats de ses actions.

Risque opérationnel : des défaillances au niveau des prestataires de services peuvent entraîner des perturbations dans les transactions des fonds, voire des pertes.

(1)Schroder ISF représente la Sicav Schroder International Selection Fund

Source des images : Freepik

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