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Club d’investissement : avantages et fonctionnement

Club d’investissement : avantages et fonctionnement




Café de la Bourse revient pour vous sur une formule d’épargne conviviale et pédagogique : le club d’investissement. Quel est son fonctionnement, à qui est-il ouvert, quels avantages et quelles limites présente-t-il, comment choisir son club d’investissement ?

Caractéristiques d’un club d’investissement

Qu’est-ce qu’un club d’investissement ?

Pour Aldo Sicurani, Délégué Général de la F2IC (Fédération des Investisseurs Individuels et des Clubs d’Investissement), « un club d’investissement est un petit groupe de personnes qui décide de mettre en commun une épargne régulière d’un montant relativement peu élevé (inférieur à 5 500€ par an et par foyer fiscal) pour constituer un portefeuille de valeurs mobilières, en général des titres cotés ».

Les clubs d’investissement sont nés aux États-Unis à la fin du 19ème siècle et sont apparus en France il y a plus de 40 ans et existent dans une vingtaine de pays. Ils connaissent leur âge d’or dans les années 1990 mais restent aujourd’hui un élément important de l’actionnariat individuel français, rassemblant près de 100 000 actionnaires individuels actifs.

Souvent appelés clubs de bourse, les clubs d’investissement permettent d’investir dans les actions de sociétés cotées : actions françaises ou étrangères. Aldo Sicurani précise : « Il n’y a pas de limitation géographique comme cela existe pour un PEA, on peut aussi bien investir dans des actions françaises que des actions américaines ou japonaises ». Mais un club d’investissement permet aussi d’investir dans des obligations, certificats, warrants, options, parts d’OPCVM, etc. Sont donc concernés aussi les fonds et produits dérivés mais seulement dans une certaine mesure. Nous détaillerons ce point plus loin dans l’article.

Création d’un club d’investissement et mise en place

En premier lieu, un club d’investissement doit choisir sa forme juridique. Il peut s’agir « d’indivisions ou de sociétés civiles de personnes (à capital variable ou non) » comme le précise le Bulletin officiel des finances publiques au chapitre Club d’investissement. Dans le même temps, les membres fondateurs doivent rédiger les statuts et les déposer, choisir leur mode de comptabilité et ouvrir un compte au nom du club auprès d’un intermédiaire financier agréé (courtier, banque, etc.)

Les réunions d’un club d’investissement sont généralement mensuelles mais leur fréquence varie selon le club. Ces réunions ont pour objectif de décider à quoi seront employés les cotisations des membres, autrement dit quelles sommes seront allouées à quels actifs. Les réunions sont aussi l’occasion pour les clubistes d’échanger sur les marchés et le contexte macro-économique qui guideront leurs décisions d’investissement. Chaque membre peut d’ailleurs se voir attribuer le suivi d’un secteur d’activité (bancaire, pharmaceutique, etc.) ou d’une zone géographique (Japon, États-Unis, émergents, etc.)

Les décisions d’investissement sont prises collégialement, c’est-à-dire à la majorité des membres présents ou représentés. Les décisions d’investissement du portefeuille du club sont soumises au vote des membres. Le portefeuille d’un club d’investissement étant géré collectivement, les membres du club en partagent les revenus et les plus-values. Notez d’ailleurs que les dividendes et intérêts encaissés sont obligatoirement distribués.

Club d’investissement : c’est pour qui ?

Un club d’investissement est ouvert à tous : actifs, retraités, étudiants, même les mineurs peuvent rejoindre un club, à condition de remplir ces trois conditions :

  • la signature des statuts du club par l’un des parents de chaque mineur
  • l’engagement par le parent de déclarer avec ses propres revenus ceux dont l’enfant de moins de dix-huit ans pourrait bénéficier pendant la durée de vie du club ou à sa dissolution
  • la présence, parmi les membres d’une personne majeure responsable des opérations de bourse devant l’intermédiaire financier.

Les entrées et sorties sont libres et aucun niveau de connaissance financière n’est requis puisque l’on entre dans un club pour apprendre. « Seule la volonté de participer, de s’investir, d’être curieux est essentielle » comme le souligne Thibaud Noel, membre de l’association Transac EDHEC Investment Club.

À noter : certains clubs d’investissement sont ouvert à une catégorie de personnes seulement comme c’est par exemple le cas des clubs d’investissement d’école de commerce ou de cursus universitaires orientés finance, réservés aux étudiants de l’école. « Les clubs étudiants marchent très bien » souligne Aldo Sicurani qui pointe toutefois la difficulté de ces clubs qui doivent faire face à une scolarité de plus en plus hachée (stage, semestre à l’étranger, etc.).

Pour faire vivre ces clubs estudiantins, la F2IC soutient la création de clubs permanents au sein des écoles (les clubs d’investissement ont une durée de vie limitée à 10 ans) et la possibilité de faire sponsoriser ces clubs par des banques qui pourraient y mettre un fond de roulement qui resterait la propriété du club. Aujourd’hui, cette possibilité n’est pas envisageable car les clubs d’investissement sont limitées aux personnes physiques et excluent donc de fait les personnes morales.

Bourse : les clubs d’investissement en France

Profil des clubs et investisseurs

Le nombre de club a été divisé par 2 en 15 ans pour avoisiner aujourd’hui les 6 500 à 7 000 clubs. Les chiffres sont approximatifs car il n’existe pas d’obligation de déclaration auprès de la F2IC. Cela représente 80 000 à 100 000 personnes.

Les clubistes sont aujourd’hui en moyenne 13 par clubs avec une moyenne de 10 hommes pour 3 femmes et une moyenne d’âge avoisinant les 60 ans. 55% des clubistes sont retraités. 10 % des clubistes ont moins de 35 ans, 25 % ont entre 35 et 54 ans et 65 % ont plus de 55 ans. La région qui compte le plus de clubs d’investissement est l’Île-de-France (environ un quart des clubs), suivie de Rhône-Alpes et Paca qui représentent chacune environ 12 % des clubs d’investissement.

Certains clubs se caractérisent par leur approche d’investissement. Il existe des clubs spécialisés dans l’analyse technique par exemple ou dans l’investissement de proximité. Cette dernière option se retrouve dans des bassins avec une population de sociétés cotées comme la région de Lyon ou de Nantes. Ainsi, une association regroupant plusieurs clubs d’investissement de la région lyonnaise ayant choisi l’investissement de proximité organise des conférences et des rencontres avec les patrons des sociétés dans lesquelles les clubs investissent. Ce genre d’actions est d’ailleurs soutenu par la F2IC. Il existe aussi des clubs d’investissement avec un tropisme investissement durable. « L’essentiel des clubs cependant reste généraliste car l’objet même d’un club est d’apprendre et d’essayer donc un peu de tout » souligne le Délégué générale de la F2IC.

F2IC et clubs d’investissement

La F2IC (Fédération des Investisseurs Individuels et des Clubs d’investissement) a pour « rôle d’animer et développer les clubs d’investissement en France » nous explique son Délégué général. Elle offre un soutien technique particulièrement en amont de la création et a pour ce faire mis en place un système de bourse des équipiers, disponible depuis le site de la F2IC qui met en relation les clubs d’investissement et les personnes qui veulent rejoindre un club. « Deux rubriques coexistent sur la bourse des équipiers : celle des membres qui cherchent un club et celle des clubs qui cherchent des membres. Les clubs à la recherche de nouveaux membres ont d’ailleurs tendance à regarder les profils des membres en recherche de clubs. Mais il faut aussi savoir que lorsque l’on a posté une annonce, on a alors accès aux autres annonces, ce qui aboutit parfois à la création de clubs entre membres recherchant à en rejoindre un. » explique Aldo Sicurani. La F2IC a également monté un réseau de correspondants dans toute la France pour créer des clubs et mettre les clubistes et personnes désirant l’être en relation.

La F2IC offre également un soutien au moment de la création d’un club d’investissement et dans la vie du club au quotidien. « Les clubs nous appellent pour des questions d’appréciations fiscales par exemple ou pour des problématiques liées à l’arrivée, au départ ou au décès d’un membre. Et surtout, on intervient beaucoup au moment de la clôture du club où l’on nous demande alors conseil pour sortir dans de bonnes conditions. »

La F2IC ne donne jamais de conseils sur les valeurs. Elle offre uniquement un soutien technique et opérationnel.

Jusqu’en 2012 était la F2IC était la FFCI (Fédération Française des Clubs d’Investissement). Mais au fil des ans, la fédération a constitué un important fichier d’actionnaire individuels (111 000 aujourd’hui) démontrant une audience bien plus large que les seuls clubs d’investissement et offre aujourd’hui le même type de services à l’investisseur individuel que ceux fournis aux clubs d’investissement. « La F2IC a un rôle modeste mais réel de pression et d’information auprès des pouvoirs publics et des sociétés » explique Aldo Sicurani qui précise toutefois : « Il ne s’agit pas d’une association activiste mais d’une association de promotion des produits actions et d’information à l’égard des épargnants ».

À noter qu’il ne faut pas confondre les clubs d’investissement avec les clubs d’actionnaires, dont les investisseurs individuels peuvent aussi être membres. Les clubs d’actionnaires regroupent les actionnaires d’une même société et leurs proposent de bénéficier d’avantages exclusifs.

Atouts et avantages du club d’investissement

« Les clubs d’investissement sont des indivisions et non des associations » explique Aldo Sicurani. « Par conséquent, il n’y a pas besoin de faire de déclaration auprès d’une autorité quelconque. Seul l’intermédiaire financier doit avoir une copie des statuts du club ». Outre la simplicité et la souplesse de fonctionnement des clubs d’investissement, plusieurs facteurs expliquent le succès de cette formule d’investissement pédagogique et ludique.

Club d’investissement : pédagogie et convivialité autour de l’épargne

Comme le souligne le Bulletin officiel des finances publiques au chapitre Club d’investissement « Leur finalité est de jouer un rôle éducatif en familiarisant le public avec les valeurs mobilières et en favorisant la diffusion de celles-ci ».

Et en effet, les clubs d’investissement sont une façon pédagogique d’apprendre à plusieurs le fonctionnement des marchés financiers et de la bourse, à sélectionner et à suivre les entreprises cotées. La formule est donc idéale pour se lancer en bourse et apprendre à gérer son portefeuille dans une ambiance conviviale et ludique. « C’est un lieu d’échange et de confrontation d’idées » renchérit Aldo Sicurani qui confie que « le club d’investissement a un vrai rôle pédagogique qui a gardé tout son sens ».

Consulter aussi notre dossier 8 conseils pour bien débuter en bourse

Partage des moyens financiers

Les clubs d’investissement permettent la mise en commun des moyens financiers de l’ensemble des membres du club, ce qui permet lorsque l’on a des moyens financiers relativement limités d’investir tout de même dans de nombreux actifs, secteurs, zones géographiques, chose que l’on ne pourrait faire seul.

Le club d’investissement implique un partage des profits sur l’ensemble des actifs mais aussi un partage des risques !

Club d’investissement : un régime fiscal avantageux

Les clubs d’investissement bénéficient d’un régime fiscal de faveur. « Le principe essentiel en matière de fiscalité des clubs est celui de la transparence fiscale (note du 23 décembre 1969 BOCD 1969 II 4694) » souligne la F2IC. Ce qui signifie que les membres d’un club se trouvent placés, au regard de la fiscalité, dans une situation comparable, à celle qui serait la leur s’ils géraient personnellement leur portefeuille. Le Bulletin officiel précise en effet : « il est admis que les membres de ces clubs se trouvent placés dans une situation fiscale comparable à celle qui serait la leur s’ils géraient directement leur portefeuille de valeurs mobilières. Il est donc fait abstraction de l’existence du club pour l’imposition du revenu (transparence fiscale du club). » Mais cela concerne uniquement les revenus (le dividende, les intérêts notamment). Ainsi, chaque membres doit déclarer chaque année sa quote part des dividendes sur sa déclaration de revenus, et ce même si l’argent reste dans le club.

Autre caractéristique très avantageuse, en vertu de leur caractère pédagogique, les clubs permettent de bénéficier d’un régime d’imposition simplifiée. Ainsi, les plus-values réalisées par le club pendant toute la durée de son fonctionnement sont exonérées. En revanche, les plus-values réalisées par les membres à l’occasion de leur sortie (démission ou dissolution du club) sont imposables.

« La différence principale entre un investissement via un club d’investissement et un investissement via un compte-titre, c’est que dans le cas du club d’investissement, vous n’avez pas à déclarer vos plus-value et moins-value tous les ans mais seulement à la sortie du club ou lorsque le club est dissous. » précise le Délégué général de la F2IC qui poursuit « si pendant 5 ans vous avez fait des plus-value et les 5 années suivantes avez fait des moins-values équivalentes au plus-values des 5 années précédentes, dans le cas du compte-titre, vous devez déclarer chaque année plus-values et moins-values. En revanche, dans le cas d’un club d’investissement, à la sortie au terme des 10 ans, vous n’aurez rien à payer ».

Il existe deux façons de sortir d’un club d’investissement qui ont des répercussions au niveau fiscal. Aldo Sicurani nous les explique : « Dans le premier cas, vous sortez en liquide : si la différence entre les sommes que vous avez versées et les sommes que vous récupérez est positive, vous devez déclarer ce montant sur votre déclaration d’impôt et vous serez imposé au taux marginal sur cette somme. La deuxième option, beaucoup plus intéressante, consiste à transférer les titres vers son compte-titres au lieu de se les partager en numéraire. Imaginons que vous achetiez au début du club d’investissement une action dont le cours a quintuplé en 7 ans. Elle est passée de 20€ à 100€. Vous la vendez au terme de ces 5 ans pour une action qui vaut 100€. 6 mois avant la clôture du club, elle en vaut 250 et vous la vendez pour acheter une action qui coûte 250€. C’est ce 3ème titre qui sera transféré vers votre compte-titres avec un prix d’acquisition de 250€. La plus-value de 230 € faite pendant 9 ans et demi aura disparue. »

On voit bien l’intérêt que peut représenter cette option de sortie du club mais le Délégué général de la F2IC alerte cependant sur cette option qu’il convient de manier « avec beaucoup de précaution » car elle implique aussi très souvent une restructuration du portefeuille. En effet, un club d’investissement de 15 membres détenteur de 13 actions Air Liquide 22 actions L’Oréal, etc. ne pourra (et ce serait un non sens) partager les titres en fournissant 1 action de chaque valeur en portefeuille à ses membres lors de la clôture du club. Il convient de procéder en amont à une restructuration du portefeuille pour se partager les titres à un multiple du nombre de membres.

Limites du club d’investissement

Pour éviter que le club d’investissement ne perde son caractère pédagogique et devienne un véhicule d’évasion fiscale, de nombreuses limites sont fixées qui peuvent freiner certains investisseurs.

Un plafond de versement par foyer fiscal

Les versements sont limités à 5 500 euros par an, par participant et par foyer fiscal. Ainsi, deux époux, appartenant au même club ou à deux clubs différents, ne peuvent verser ensemble chaque année qu’un montant inférieur ou égal à cette limite. « Les statuts doivent prévoir que le nombre des membres du club sera de vingt au maximum et que les versements annuels par foyer fiscal ne peuvent pas dépasser 5 500 euros » souligne en effet le Bulletin officiel des finances publiques au chapitre Club d’investissement.

Un choix des actifs restreint

Les actifs sont également limités. Dans un souci pédagogique, il est toléré que 10 % sur le montant total des transactions annuelles réalisées par le club puissent être effectuées sur des produits spéculatifs (warrants, dérivés, opérations à découvert, …). Attention, les opérations sur devises ou à découvert sont interdites. Le recours au SRD est toléré à hauteur de 30 % du portefeuille.

Membres du club et durée limités

Les clubs d’investissement doivent compter entre 5 et 20 membres Sachez en outre qu’une personne ne peut être membre que d’un seul club d’investissement mais deux personnes d’un même foyer fiscal peuvent appartenir à deux groupes différents.

Les clubs d’investissement ont une durée de vie de 10 ans non reconductible. Certes, « à la dissolution les membres peuvent en créer un nouveau mais ils n’ont pas la faculté d’y transférer leurs avoirs provenant de leur précédent club » explique la F2IC.

Conseils et questions à se poser avant de rejoindre un club d’investissement

Club d’investissement : ai-je le bon profil ?

Avant de rejoindre un club d’investissement, il convient de prêter attention à certains points. Vous devez évidemment manifester un réel intérêt pour le monde de la finance et l’économie et souhaiter vivre et participer à l’évolution de l’économie. Le club d’investissement est fait pour vous si vous souhaitez tout à la fois apprendre et être dans le concret mais aussi si vous êtes de nature assidue et consciencieuse et que vous êtes prêt à consacrer un peu de temps à suivre l’économie. Autre trait de caractère indispensable : vous aimez la dynamique de groupe, le travail à plusieurs, faites preuve d’esprit d’équipe et acceptez facilement que les décisions soient prises à la majorité, même si vous n’êtes pas dans la majorité !

Si vous êtes davantage intéressé par le day trading, que vous réfléchissez déjà au nombre de réunions que vous pourriez manquer dans l’année et que vous êtes rebuté par l’aspect collectif de l’investissement, passez votre chemin !

Club d’investissement : investir en Bourse en fonction de votre profil de risque

Les nombreuses limites et plafonds (durée de vie du club, actifs à risques limités, mise plafonnée) des clubs d’investissement peuvent décourager certains investisseurs notamment des personnes désireuses d’investir de grosses sommes sur des produits relativement risqués. Néanmoins, les clubs d’investissement constituent un excellent moyen de se lancer en bourse et vous pouvez continuer par la suite, même si vous souhaitez investir des sommes plus conséquentes, à rester dans un club d’investissement et investir des montants plus importants via d’autres moyens.

Comment rejoindre le bon club d’investissement ?

Un bon club d’investissement est un club dont tous les membres sont au même niveau. En cas de compétences trop disparates, les plus experts auront tendance à phagocyter les autres qui du coup se désintéresseront du problème. Et finalement, les meilleurs clubs d’investissement sont ceux dont les membres sont des néophytes qui n’y connaissent rien et manifestent un réel désir d’apprendre et de s’investir.

La qualité d’un bon club d’investissement dépend aussi beaucoup des personnes qui dirigent le club. Il s’agit d’ailleurs moins de diriger que d’organiser, de déléguer et d’impliquer les membres dans la vie du club. Pour cela, il faut savoir mobiliser ses troupes et confier à un tel un exposé sur l’analyse technique, à un autre une recherche sur les ETF ou trackers, à un autre encore une étude du secteur pétrolier.

Sachez tout de même qu’il est difficile de rejoindre un club d’investissement, souvent bien plus difficile que d’en créer un. Et après tout, le meilleur club d’investissement c’est sans aucun doute celui que vous aurez créé. Si vous cherchez vraiment, vous trouverez aisément 5 à 10 personnes prêtes à tenter l’aventure. « Il est en effet plus facile de trouver des gens qui veulent bien faire partie d’un club de bourse et en créer un que d’en rejoindre un » souligne Aldo Sicurani. Et la F2IC se tient à votre disposition pour vous aider dans cette démarche !

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Les informations de Cafedelabourse.com et de ses publications sont données à titre pédagogique. Elles ne constituent en aucun cas des recommandations d’investissement. Le lecteur se doit d’étudier les risques avant d’effectuer toute transaction. Il est seul responsable de ses décisions d’investissement.