D’année en année, la Chine prend la place de deuxième puissance mondiale. Pour y arriver plusieurs défis ont été mis en place. Par contre jusqu’aujourd’hui on ne saurait dire que la Chine est un pays classé dans les mêmes rangs que certain pays croissant économiquement d’Afrique
Il y a Cinquante ans certains états d’Afrique devenait indépendant
Depuis 50 ans la Chine se forge, étale sa puissance, pour atteindre un objectif final : avoir la première la place du monde. On se souvient des slogans des 30 dernières années sur la force, la stratégie de la fin qui justifie les moyens.
Après ces années on ne peut pas dire qu’il n’était pas temps pour la Chine de démontrer sa grandeur. Reconnaissons que ce pays a connu 30 ans de développement sans précédent, lui permettant de renverser la prédominance des pays occidentaux sur l’économie mondiale.
La Chine trouve des nouveaux partenaires dans son sein
La crise n’a fait que renforcer le potentiel de polarité chinois. Beaucoup de pays ont voulu mettre en place des plans de relance mais celui du gouvernement chinois est un succès. Beaucoup pensait voir l’économie ralentir mais le pays a certes été freiné durant la crise mais elle n’a pas connu de récession comme beaucoup de pays dit puissant. «Selon le FMI, le PIB de la Chine devrait croître de 10% en 2010, contre 2,3% pour les économies des pays développés.»
Etant donné que la crise étale les faiblesses des pays européens, en les poussant à s’endetter. Plusieurs de ces pays sont endettés à plus de 80% de leur PIB à ce jour, d’autres s’enfoncent dans une nouvelle crise dont on ne semble pas apercevoir la fin comme l’Irlande ou la Grèce… Pourtant le dernier est devenu le premier. La Chine « faible » des années 50 est la plus forte avec un taux d’endettement de 20 % de son PIB), afin de poursuivre sa croissance la Chine revient sur ces pas d’égaux à égaux des années 60 a 70.
La grandeur du nouveau puissant dans les secteurs miniers n’a pas été prise en compte pendant longtemps. Aujourd’hui, il est considéré comme une menace pour la chasse au territoire gardé, aux ressources des pays en développement. Néanmoins, l’empire du milieu se rend à l’évidence en essayant de mettre en place un dynamisme économique stratégie. En outre, plusieurs autres secteurs retiennent bien son attention : les services, l’industrie, l’énergie, la finance, les banques, etc.
Il est claire que l’industrie, le service chinois est devenue épouvantables aussi bien que la concurrence demeure dans la crainte dans tous les secteurs clés de l’économie (banque ICBC, Haier…)
Le marché intérieur chinois
L’insatisfaction du marché chinois nonobstant son surcroit abusif, les faiblesses n’en demeure pas moindres. Son marché intérieur reste insatisfait.
Le chômage, le manque de matières premières, les terres cultivables, et la commercialisation des produits, sont à ce jour un grand déficit pour les Chinois : ce qui les renvoient vers l’Afrique.
Par ailleurs, l’écart entre les riches et les pauvres en Chine n’a jamais atteint son plus haut niveau, que ce soit dans les villes ayant une urbanisation particulière ou dans les zones rurales communistes.
Jean-Christophe H.BELL